Non, non, je vous rassure, je n’ai pas encore inventé un pot d’échappement « full barouf » pour nos chères tutures au 1/32
Mais avant d’aller plus loin, je vous propose de regarder cette première vidéo
(dont vous excuserez la faible qualité car faite avec la fonction vidéo d’un APN basique)
La voiture est une brave Aston-Martin DBR9 de chez SCX (phares toujours fonctionnels)
mais n’avez-vous rien remarqué de particulier ?
…
Vraiment pas ?
Regardez la vidéo à nouveau…
…
Allez, là c’est sûr, vous avez vu ?
Le circuit de Viraufrin est un 4 pistes analogique, le film est continu, sans raccords,
La voiture passe plusieurs fois…
Et à chaque fois sur une piste différente !
Comment cela se fait-ce ? ( se fesse ? )
...
Explication dans cette deuxième vidéo (de qualité toujours aussi faible)
Eh oui, il suffit de trois rails de croisements,
dont un débarrassé de ses attaches et leurs emplacements évidés
disposé sur les voies 2 et 3 du 4 pistes et entouré de 2 monovoies obtenues en coupant un rail 35 cm longitudinal
pour obtenir une piste « 4 voies en 1 » fort pratique pour utiliser tout le circuit en solo, quand les potes ne sont pas là
Pour ceux que cela intéresse, voici le dessin du circuit où les croisements apparaissent clairement
(croisements et rails monovoie représentés en lignes rouge)
Complètement « frappé », le Viraufrin ? J’assume totalement !
P.S. Penser à débrancher les 3 poignées qui ne servent pas, de façon à éviter que leur "effet frein" ne bloque la voiture