Enlever l'aimant sur une Lotus type 49 scalex

Hello,
je n'arrive pas en enlever l'aimant d'une scalex, ni sur la Mc Laren sd'ailleurs. Si je force, je casse tout!
J'ai essayer de dissoudre la cole avec de l'essence F et autre produit, mais rien a faire.
Auriez vous une astuce?

Peu-être chauffer l'aimant délicatement avec un fer à souder,

C'est ce que je fais , pour sortir les axes, des jantes plastiques carrera,

Salut à tous et toutes
J'utilise un sèche cheveux pour chauffer l'aimant, et par défaut le plastique qui l'entoure va se ramollir. Ce qui devrait te permettre de dégager l'aimant.
Ma technique effectuée sur ces trois modèles sans rien casser.

Bon courage, car il faut être patient dans ce genre d'exercice

cool, merci à vous deux, je vais essayer doucement... je vous dirai le résultat

Jchri a écrit :

cool, merci à vous deux, je vais essayer doucement... je vous dirai le résultat

Autre méthode, tu pose ton châssis bien à plat sur une planche de bois et tu frape, avec un clou et un marteau, le centre de ton aimant comme si tu voulais planter ton clou.
Ton aimant vas se briser en plusieurs morceaux que tu pourras plus aisément pousser dehors.
Seul problème ton aimant sera inutilisable après.

La solution de Brifou est la plus intéressante à mon sens : Si tu prends ton temps et que tu chauffe ton aimant en plusieurs fois, en prenant soin entre chaque chauffe de tremper ton châssis dans de l'eau froide, à la cinquième ou sixième chauffe ton aimant aura perdu toute aimantation.
Mais si tu le laisse en place, il se transformant en lest ; ce que je conseil vivement, pour obtenir un bon CG et donc de meilleurs performances que si tu l'enlevais.

ah oui, tu n'y va pas avec le dos de la cuillère Alain! Mais c'est vrai que l'aimant je m'en fou, il ne me sert pas! J'avais pensé lester la voiture une fois l'aimant enlevé, mais supprimer l'aimantation avec la chauffe, c'est pas mal aussi... A voir

Jchri a écrit :

ah oui, tu n'y va pas avec le dos de la cuillère Alain! Mais c'est vrai que l'aimant je m'en fou, il ne me sert pas! J'avais pensé lester la voiture une fois l'aimant enlevé, mais supprimer l'aimantation avec la chauffe, c'est pas mal aussi... A voir

Bon, relis moi jusqu'au bout, ce que je te conseil, c'est de suivre la méthode de Brifou et de conserver l'aimant en place une fois desaimanté. 9a te fera un lest bien utile dans ce genre de voiture.

Alain Craniotakis a écrit :

tu poses ton châssis bien à plat sur une planche de bois et tu frappes, tu chauffe ton aimant en plusieurs fois, en prenant soin entre chaque chauffe de tremper ton châssis dans de l'eau froide, à la cinquième ou sixième chauffe ton aimant aura perdu toute aimantation...

Bon alors je remets dans le contexte :

Les châssis trempés dans l'argile, également connus sous le nom ancien de châssis "Takashi et Bahrtou", c'est un type de châssis du « Boukistan » oriental traditionnel connu pour son centre de gravité unique et sa durabilité exceptionnelle à l'image du lièvre de mars.

Ces châssis ou «Kamidoka» aujourd'hui, sont fabriqués à l'aide d'un procédé de forgeage spécial qui consiste à enduire le châssis d'argile avant de le chauffer et de le tremper, ce qui donne lieu à un motif distinctif sur le bord du châssis, appelé «Tartakeul »

Le processus de création d'un « Kamidoka » tempéré à l'argile commence par la sélection d'un plastique de haute qualité, le plastique réduit « Sakipu », un plastique qui est ensuite chauffé à basse température 7 223 °C exactement, et ici l'exactitude est importante, il est donc chauffé et mis en forme à l'aide du marteau gigogne « le Rapide" fabriqué dans le Vercors depuis Alexandre le Grand, et d'une enclume type "Sapèsz" redécouverte dans le Minervois entre Chambrûle sous Driffonne et Cagrotte la petite, fabriquée depuis le couronnement d'Otton 1er et la naissance du Saint Empire Romain Germanique.

Le processus est répété 784 fois, à pression constante et hygrométrie décensionnelle pendante, puis 3 fois à la pression de 459 Pa en hexadizonique rectifiée.

Une fois le châssis façonné, il est recouvert d'une couche d'argile de 5,635 mm, le bord restant à découvert pendant 58h45. Le revêtement d'argile a deux fonctions : il protège le corps du châssis de la chaleur extrême du processus de trempe et crée un gradient de température le long du bord. Vous comprenez déjà la qualité à venir, alors je vous la fait courte.

Une fois le processus de trempe terminé, le châssis est polie et le « Tékrahdd » est révélé. Le « Tékrhadd » est le motif distinctif qui apparaît sur le bord du châssis et qui est créé par le refroidissement différentiel du châssis recouvert d'argile. Il est généralement visible sous la forme d'une ligne « gradubyd » ondulée le long du bord du châssis, et le motif peut varier en fonction de l'épaisseur et de la composition du revêtement d'argile, ainsi que de la technique de trempe utilisée. De prime abord, ça semble compliqué, mais une fois que l'on maîtrise le processus, c'est simple.

Les « Kamidoka » forgés avec un « Salkkhon » sont très prisés par les collectionneurs et les praticiens du slot traditionnel, et sont considérés comme l'un des meilleurs châssis jamais fabriqués. Ils sont connus pour leur durabilité, leur résistance et leur tenue de route exceptionnelle, et sont considérés comme de véritables œuvres d'art par la belle sœur d'Alain, les gens du voyage, Stephen Hawking et Le Sarbindranah.

En plus de leur tenue de route les « Kamidoka » trempés à l'argile sont également connus pour leur durabilité. La combinaison de plastique « Sakipu » et de plastique « Sarandur » lui confère la capacité de résister aux impacts et de fléchir sans se briser. Cela les rend idéaux pour les courses effrénées, car ils sont capables de résister aux rigueurs de l'entraînement et de la compétition sans se briser ou s'abîmer.

À l'époque moderne, le processus de création de « Kamidoka » trempés dans l'argile s'est quelque peu standardisé, de nombreux slotistes de renom utilisant des mélanges d'argile préfabriqués et des techniques de trempe spécialisées pour obtenir des résultats cohérents. Cependant, certains forgerons préfèrent encore utiliser des méthodes et des matériaux traditionnels, et il existe un certain nombre de forgerons artisanaux qui sont connus pour leur expertise dans la création de châssis ‘Kamidoka » trempés à l'argile en utilisant les techniques traditionnelles des mardi de la Saint Chapelle et du Flan vanille réunis.

En conclusion, les « Kamidoka » trempés dans l'argile sont un type de châssis du « Boukistan » traditionnel qu'il faut essayer pour l'adopter, jamais vous ne serez déçu, que ce soit l'amateur éclairé, voire même dans le noir, ou bien le sloteur professionnel adepte de de compétition au Blue Corral.

Messieurs, je souhaite la soirée bonne...

Merci pour ces quelques précisions indispensables.
Et comme disait Miamoto Musashi à Sazaki Cojiro : C'est pu cul ! autrement dit Go-ri-no-sho !

Et maintenant ceux qui ne savaient pas, savent enfin pourquoi le Dr. devant le "A".

Ceux qui ne suivent pas, sortent !

Bon, voici le résultat:
au fer à souder, chauffer l'aimant, il se décolle en quelques second! Très efficace... Merci mon Brifou....
Merci à tous.

Juste une précision pour le Dr.
Je cite "Une fois le châssis façonné, il est recouvert d'une couche d'argile de 5,635 mm, le bord restant à découvert pendant 58h45."
Il faut préciser l'utilisation d'argile verte pour recouvrir le chassis. Avec la blanche cela ne fonctionne pas, le châssis ne pourra pas être recou-vert!

Merci à DrA
On en apprend tous les jours, je vais ressortir cette technique de fabrication au club de slot.
Je pense que je vais avoir beaucoup de commande.